Cet ensemble hydraulique comprend une fontaine et un lavoir carré abrité par un mur en « fer à cheval ». Ce lavoir a inspiré l’écriture d’un conte, mettant en scène une laveuse de mensonges condamnée à une « bugeade* éternelle ».
*La Bugeade (en patois creusois) était la grande lessive qui se faisait deux à quatre fois par an et plus particulièrement au printemps et à l’automne. C’était un événement important de la vie communautaire qui rassemblait les femmes et donnait vie aux lavoirs.
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